Prudence Rose Easton ❀ le bonheur est fragile et ne survit que si on est conscient de sa précarité

Prudence R. Easton

❝NOM❞: Easton ❝PRÉNOMS❞: Prudence Rose ❝DATE ET LIEUX DE NAISSANCE❞: 20 mai 1926 à New York ❝AGE❞: vingt-deux ans ❝MÉTIER/ÉTUDES❞: Professeur à l'école de Seabrook et écrivain à ses heures perdues ❝STATUE CIVILE❞: fiancée ❝STATUE SOCIALE❞: modeste ❝GROUPE❞: Never Forget

This is how I am

Malgré le fait que Prudence ait grandit dans un univers remplis de bourgeoisie, la demoiselle a toujours su rester simple. Rarement hautaine, sauf avec les personnes qui le furent avec elle, la jeune femme inspire la sérénité et la douceur. Mais détrompez vous, la jeune Easton n’a jamais eu la langue dans sa poche. Non loin d’être rebelle, elle sait pourtant se faire entendre, s’affirmer et prendre défendre sa position et son point de vue; c’est d’ailleurs pour ces caractéristiques pas souvent bien vu que la jeune femme captura le cœur de son fiancé. Il voyait en elle l’inaccessible, une fille qui n’était pas du genre à se laisser faire et encore moins à être soumise. Pourtant derrière un caractère bien trempé se cache une sensibilité perceptible quand on apprend à la connaitre.
Née avec une cuillère en argent, la jeune femme a toujours su que ce monde ne lui ressemblait pas. Peu à l’aise avec les courbettes et manières, Prudence était beaucoup plus à l’aise à la campagne, à marcher pied nu dans les prairies ou encore à faire des balades équestres pendant des heures en pleine foret. La jeune Easton aime aussi se débrouiller seule, elle a toujours été avide d’apprendre pour pouvoir par la suite le faire elle-même. Très manuelle, la jolie blonde a très vite apprécié le fait de cuisiner, apprendre à coudre, se fabriquer des vêtements et même, grâce à Garret, apprendre à réparer des objets. Oui Prudence, c’est tout cela …

My story

C’est en plein cœur de New York, entre deux guerres que la jeune Prudence Rose Easton vit le jour. Née avec une cuillère en argent dans la bouche, on comprit vite que la jeune femme de bonne famille ne manquerait jamais de rien. Un père banquier et bien évidemment une mère au foyer, le quotidien de la jeune fille se résuma à des galas, brunchs et autres parties entre riche. C’est en grandissant que Prudence comprit qu’elle n’était pas de ce monde. Voir sa mère si coquette et son père si faux et soumis aux étiquettes lui donnaient envie de vomir. A sa manière, et plusieurs fois, la jeune femme montra son indignation au sujet du statut de sa mère face à son père mais aussi contre toute cette mascarade dont elle ne voulait être sujette. Cette attitude qualifié de rebelle, mettant souvent ses parents dans l’embarrât, lui value multiples corrections mais cela ne changea pas son point de vue, bien au contraire. Elle fut pendant longtemps envoyé dans une école catholique et exclusivement féminine, expédition de la demeure familial qui la mit longtemps en froid avec son père. Elle avait d’ailleurs son caractère et quand deux montagnes se rencontrent, ça ne donne jamais rien de bon. Prudence en voulu longtemps à sa mère, elle qui ne comprenait pas ce genre d’esclavage et cette obéissance à tout va.

Ce ne fut qu’en 1944, un an avant la fin de la guerre, alors qu’elle n’avait que 16 ans que la jeune femme revint du couvant. Satisfait du changement caractériel de sa fille, bien que ce ne fût qu’apparence, Prudence assista à une soirée mondaine qui changea sa vie par multiples raisons.
Chauffeur, voila ce qu’il était. Ce fut sur l’un des balcons de la riche demeure de leurs hôtes que la jeune Easton l’aperçut. Il ne suffit que d’un regard pour que son destin soit celé. Quelques mots échangés et la jeune bourgeoise sût qu’avec lui, elle referait le monde, son monde.
Sachant très bien que leur idylle serait interdit, ce fut par lettres qu’ils correspondirent, caché dans le jardin de la jeune femme, là où le jeune homme pouvait y déposait ses messages enflammé et elle ses lettres parfumés. Ils ne purent se toucher que lorsque la jeune femme feint un bal organisé par des jeunes gens de son âge et de sa classe sociale. Couverte par une amie, elle pût enfin le retrouver et partager une soirée qu’elle n’oubliera sans doute jamais.
Ce genre de retrouvaille fut multiplié par la suite, l’un comme l’autre ils ne pouvaient se passer d’être ensemble. Des semaines, des mois à jouer à ce petit jeu avant que leur amour soit révélé.
Telles les traditions Garret vint demandé la permission au père de la jeune femme, de lui offrir sa main. Chose bien évidemment refusé vu la classe social du garçon. Préférant briser le cœur de sa fille plutôt que de la voir pauvre mais heureuse, tous les essaies suivant de le résonner furent vains. Monsieur Easton comprit alors que sa fille n’avait jamais changé et s’était joué de lui. Il devint alors plus dur avec elle, menant sa vie à ses cotés aussi difficile que celle de l’enfer.
Ce fut un soir que la belle blonde prit son destin en main et par la même occasion une feuille et un stylo. Là elle écrit ces quelques mots « Tu préfère me voir souffrir plutôt que d’être heureuse, et bien ne me voit plus » Dans la foulé, la belle se fit un baluchon et s’enfuit de la demeure familial sans jamais se retourner.

Exilée à Seabrook, ce fut ici que sa nouvelle vie commença. En compagnie de l’homme de vie, elle fit alors construire sa maison, quelques peu en retrait de la petite ville qui venait de les accueillir. Par la suite, tout deux travaillèrent, elle en tant que couturière et lui dans les usines.
Le jeune couple vivait le parfait amour avec dans l’optique de se marier et d’avoir plein d’enfants pour combler ce bonheur. Malheureusement la vie réelle est bien loin du conte de fée. Tout juste majeur et la guerre n’étant pas finis, on vint jusqu’à Seabrook pour enrôler les futurs soldats d’Amérique et Garret en fit partie. Ce fut à la veille de son départ qu’il demanda Prudence en fiançailles, lui faisant la promesse de revenir et qu’une fois de retour ils se marieraient. Le cœur plein d’espoir, la jeune femme accepta alors.
Garret partit au front en 1944. Les seuls moments d’intimité se résumèrent maintenant aux lettres que la belle recevait régulièrement de son preux guerrier, ayant pris l’habitude qu’à chaque lecture de ces dernière, son bague de fiançailles viennent toucher ses lèvres et revenir vers son cœur.
Et tout cela jusqu’à la dernière lettre …

1948
Prudence Rose vit toujours dans l’espoir de revoir un jour celui qui a fait chavirer son cœur du haut d’un balcon. Alors que la plupart des soldats sont revenue du front et malgré la visite de soldat lui annonçant la mort de Garret, Prudence y croit encore. Vivant dans le déni, elle se refuse à croire que son homme n’est plus et ne sera plus jamais, elle ne veut pas croire que les projets qu’ils avaient tissés ensemble ne soient aujourd’hui que poussière, que les enfants qu’elle espérait tant avoir avec lui, qu’ils aient le regard et la vaillance de leurs père ne vivent aujourd’hui que dans ses rêves. Nan Prudence ne veut pas y croire, elle a encore espoir mais pour combien de temps ?

Under the screen

Je m'appelle Sophie mais on me connait sous le pseudo yooh . J'ai vint ans et toutes mes dents. J'ai connu le forum sur Bazzart et je le trouve plutôt beau & original. En lisant le règlement, j'ai vu qu'il y avait un code et le code que j'ai trouvé est you're the bird of my world, je fais du rp depuis octobre 2006 et j'aime ça. J'ai envie de vous dire que j'ai hâte de commencer à RP sur celui ci. J'ai comme avatar une pure beauté car c'est dianna agron. Comme je suis sympa je vais remplie le code suivant pour recenser mon avatar

Code:: [b]DIANNA AGRON[/b] [color=#df1414]の[/color] [i]Prudence Rose Easton[/i]

➺ crédit fantaisiie

Bienvenue ;)

Merci

De rien ;)
Bon courage pour le reste de ta fiche ;)

Merci =)
Justement je viens de la terminer ^^

Je te valide juste tu as oublié dans la première partie de mettre ton lieu de naissance =)

Oops parfon, voila j'ai édité
Merci beaucoup en tout cas !!!

Parfaiiit je déplace :D

Merci

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