MAISON n°1 - Abandonner...jamais [PV Marie]

Abandonner...jamais

feat. Marie et Maxence

La famille n'est pas toujours un cadeau et on finit toujours pas l'apprendre à nos dépend. Un gosse de riche comme Maxence McAlister aurait du se douter que ses parents ne seraient pas tendre avec lui sur certain point. Depuis qu'il est tout petit, ils n'ont jamais appréciés de le voir jouer avec des enfants n'étant pas de la même classe social que lui ou tout simplement de couleur de peau différente. Max n'a jamais comprit pourquoi et ne les a jamais écouté. Heureusement que son grand père à toujours était là pour freiner ses parents et leurs expliquer que c'était des enfants. Peut importe la couleur, la classe social, ils doivent apprendre à grandir ensemble et découvrir ce que c'est la vie. Des amis passait encore, mais une fille...une petite amie c'était trop. Max n'avait jamais parlé de Marie à son père ou sa mère pour la simple et bonne raison qu'il était sûr qu'ils auraient quelque chose à redire. Soit qu'elle ne serait pas assez jolie, qu'elle n'avait pas un assez bon boulot ou juste car il savait qu'il n'accepterait jamais qu'il sorte avec "une pauvre". Que dirait t'ont des McAlister si on le voyait sortir avec l'une de ces mendiante... Oh ce n'est pas une mendiante bien sur, mais pour ses parents, les pauvres, ceux qui n'ont pas de grand manoir et un véritable empire financier, ce sont tous de pauvre mendiant.

En ville les bruits cours rapidement et l'histoire qu'il vivait avec la jolie Marie parvint aux oreilles de ses parents. Au début, ils ne disaient trop rien et ils demandèrent à leur fils de rencontrer sa copine. Ne pouvant dire non à ceux-ci, il leur présenta sa bien aimé. Elle aurait presque fait sensation si elle n'était pas pauvre. D'une beauté éblouissante, avec des manières bien mieux élevé que lui, le cœur sur la main, c'était difficile de lui reprocher quoi que ce soit...hormis le fait de ne pas être une riche héritière. Préparant sans doute un plan, les McAlister laissèrent courir leurs histoire un petit moment avant de faire pression sur Max. Ont lui annonça simplement qu'on allait lui présenter une jeune femme et qu'elle serait sa futur femme. Un choc, se fut comme si tout s'écroulait autour de lui. Le jeune homme pensa à une blague, mais non, son père et sa mère avaient bien prévu de le marier à une étrangère. Une riche dont le père détenait une grande société. Max ne se laissa pas faire et expliqua droit dans les yeux à son père qu'il n'épouserait jamais cette femme, la seule qu'il aimait étant Marie. Les jours passèrent et la pression monta considérablement y comprit avec sa petite amie qui finit par tout laisser tomber, le laisser tomber. Que doit-on faire quand notre monde s'écroule ? Si son unique raison de vivre vous abandonne ? Marie n'avait pas put prendre cette décision seule, elle aimait trop Max pour ça, du moins c'est ce qu'il pensait. Ce ne pouvait être qu'un coup de son père et c'est d'ailleurs ce que son grand père lui fit comprendre d'une manière caché.

Décidé à ne pas perdre la personne qui compte le plus pour lui, il a entreprit de se battre, peut importe l'opinion des autres et surtout celle de ses parents. A de nombreuse reprise, il tenta de parler à sa bien aimée, mais à chaque fois elle se détournait de lui. Et à chaque fois, il avait l'impression d'avoir le cœur brisé un petit peu plus. Si elle prenait la fuite à chaque fois, il devait la voir dans un endroit ou elle ne pourrait pas prendre la fuite. Le jeune rebelle pensa d'abord à la kidnapper mais c'était un peu trop radical et ça ne serait certainement pas une bonne idée. Pourquoi s'embêter quand on peut choisir la simplicité ? Une fois que la nuit fut tombée sur Seabrook, il alla chez la demoiselle, ni vu, ni connu. Tel un cambrioleur, il s'introduisit chez elle. D'ailleurs, il devra lui rembourser le carreau de la porte de derrière. Max s'installa sur le canapé, nerveux et impatient, son regard ne cessant de fixer la porte d'entrée et de regarder toutes les dix secondes l'heure qu'indiquait sa montre. Il devait lui parler, lui expliquer qu'il l'aimait elle et que tout ce qu'avait put lui raconter son père n'était que mensonge. Sa jambe se mit à bouger nerveusement, le temps semblait ne pas vouloir s'écouler comme s'il était figé pour l'éternité. Ce n'est que quand le bruit d'une clef qui se glisse dans la serrure que son cœur se serra et fit de grand bon. Et maintenant, qu'est-ce qu'il va dire ? C'est fou ce qu'il était nerveux mais d'un autre coté il était très excité de pouvoir la revoir et d'enfreindre toutes les règles.

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Tu es tout pour moi

Cela faisait un moment que notre jeune fille Marie, n'avait pas vue son tendre et cher aimé Maxence. Ce jeune homme n'est pas n'importe qui, en effet il est un MacAllister et ils sont l'une des familles les plus riches du monde, du pays, surtout en matière de pétrole. Leurs rencontres elle avait été juste magnifique. Marie avait remarqué le jeune homme qui passait souvent devant sa boutique jusqu'à ce qu'elle le voit entrer et acheter des fleurs pour finir par lui offrir. Elle se souvient encore de ce jour où elle avait rougis pour la première fois depuis longtemps.

La nuit venait de tombée dehors, et notre héroïne venait tout juste de finir son boulot, elle ferma alors la boutique de fleurs où elle y pratiquait sa passion pour peux d'argent en retour. Son patron était un homme, qui lui faisait confiance mais on voyait bien dans le regard de celui-ci, que pour lui les femmes étaient surtout qu'un morceau de viande.
Son petit gilet sur les épaules, elle marcha en direction de chez elle, d'un pas pressée elle n'avait qu'une envie c'était de faire sa toilette et de se coucher le coeur lourd de souvenirs et remplie d'une peine inconsolable. Depuis des jours, depuis que les parents de son tendre étaient venue la voir, et qu'ils lui avait convaincue de ne plus le voir... elle se sentait comme morte et vide, elle avait besoin de lui, besoin de ses bras.

Elle arriva chez elle, elle sortit la clef de son petit sac et l'entra dans la serrure de la porte de sa maison blanche au volet bleu. Puis elle tourna la clef, posa la main sur la poignet et entra dans la maison. Elle retira doucement son gilet le posa sur son porte manteau puis entra dans le salon. C'est alors qu'elle alluma la lumière et sursauta manqua de se casser la figure. Se trouvait Maxence, sur son canapé.

-Maxence! Qu'est-ce... qu'est-ce que tu fais... là?

Elle sentit son coeur battre la chamade, elle ressentait toujours ses papillons dans le ventre, ceux qui lui montraient qu'elle l'aimait! Qu'elle ne pouvait pas se passer de lui.

Codage fait par .Jenaa

L'attente avait été bien trop longue et il avait bien cru mourir tellement c'était long. La nervosité ne l'aidée pas plus que ça en plus. Il avait peur qu'elle le repousse une nouvelle fois, qu'elle lui demande de partir et de ne plus jamais revenir. Si jamais elle lui disait ses mots alors ça signifierait que tout est finit. Qu'il avait perdu, que son père qui ne lui pourri déjà pas assez la vie comme ça avait gagné la victoire. Oh qu'est-ce que ça lui faisait peur d'affronter ce moment. Pourrait t'il supporter de la perdre définitivement ? C'était déjà tellement dur, ça l'avait déchiré et a moitié détruit, alors si c'était la fin...que resterait t'il de lui, de son cœur ? De simple morceau à ramasser avec un balais et a jeter aux oubliettes, car après ça il ne serait jamais plus capable d'aimer quelqu'un d'autre. L'amour peut être la plus belle chose qui nous arrive comme la pire. En ce moment, c'était entre les deux, il ne savait pas trop ou situer tout ça.

Le moment fatidique arriva enfant quand la porte fut déverrouillée par le cliquetis singulier de la clef dans la serrure. Son cœur lui sembla faire un bon et battre plus vite, sa respiration moins précise qu'elle ne devrait l'être. La jeune femme alluma la lumière et manqua une crise cardiaque en découvrant Max assit sur le canapé. Précipitamment, par politesse il se leva et fit quelques pas vers elle. Elle devait être surprise de le voir là et c'était tout à faire normal. La première chose qu'elle lui demanda c'était la raison de sa présence. Le jeune homme la rejoignit et esquissa un sourire maladroitement nerveux.

-Je suis désolé de m'être introduit chez toi comme ça, je voulais pas te faire peur. Mais tu refuses de me parler commença t'il part expliquer. Je veux juste qu'on discute, qu'on mette les choses aux clair. Entre toi et moi ça peu pas se finir comme ça, c'est pas possible.

Doucement, il glissa sa main vers elle pour attraper la sienne en espérant qu'elle ne reculerait pas. Pour le moment, il ne s'était pas encore prit de claque ou quoi que se soit d'autre, c'était peut être si mauvais que ça.

-Je ne laisserai jamais ma famille immiscer entre toi et moi. Peut importe ce qu'ils peuvent dire ou faire, je ne les laisserai pas me séparer de la femme que j'aime ! Il la regarda dans les yeux, ces yeux si magnifique, Marie, je peux pas t'abandonner, c'est pas possible, je t'aime trop pour ça. Alors quoi que mon père t'es dit ne le croit pas, je t'en pris !

Tu es tout pour moi

Marie n'en croyait pas ses yeux... qu'est-ce que Maxence venait faire chez elle ? En plus en ayant brisé une vitre, enfin ça, elle s'en fichait pas mal, ce qu'elle voulait elle, c'est savoir ce qu'il faisait là. Elle avait tout fait pour rester éloigné de lui comme les parents de Maxence avait réussi à l'en convaincre, mais visiblement le jeune homme n'était pas du tout de cet avis là! D'ailleurs Maxence la rejoignis très vite et prit donc la parole. -Je suis désolé de m'être introduit chez toi comme ça, je voulais pas te faire peur. Mais tu refuses de me parler. Je veux juste qu'on discute, qu'on mette les choses aux clair. Entre toi et moi ça peu pas se finir comme ça, c'est pas possible. La jeune Marie baissa les yeux et se mordit la lèvre, c'est vraie que c'était idiot que ça se finisse comme ça, mais ils vivent malheureusement à une époque difficile autant pour les riches que pour les pauvres. Car les riches ont souvent plein pouvoir sur tout sauf sur l'amour! Où là ils n'ont pas forcément le droit de faire ce qu'ils désirent! Il glissa sa main près de celle de Marie, elle ne broncha pas et sentit son coeur battre, accéléré, elle leva les yeux lentement vers lui. -Je ne laisserai jamais ma famille immiscer entre toi et moi. Peut importe ce qu'ils peuvent dire ou faire, je ne les laisserai pas me séparer de la femme que j'aime ! Marie, je peux pas t'abandonner, c'est pas possible, je t'aime trop pour ça. Alors quoi que mon père t'es dit ne le croit pas, je t'en pris !

-Tu ne peux pas Maxence... Tu ne peux pas gâcher ta vie à cause de moi. Tu dois te marier avec quelqu'un, une femme digne de toi, et avoir une belle vie, une famille... Et je ne suis pas digne d'être cette personne, je ne suis qu'une fleuriste, tu mérite tellement mieux.

Elle se sentit rougir, elle soutena son regard quelque peux déstabilisé. Les parents de Maxence, étaient venus voir Marie afin de lui proposer de l'argent en échange de la liberté de leurs fils, elle avait accepté de le laisser mais avait refusé l'argent, cela ne l'intéressait pas, elle préférait se convaincre que les parents de l'homme qu'elle aimait savaient bien mieux qu'elle se qui était mieux pour lui, notamment son avenir... Mais elle en souffrait il fallait bien l'avouer.

Codage fait par .Jenaa

Si les parents de Max savaient ou se trouve ce dernier, ils seraient vert de rage. Mais le jeune homme s'en fiche, c'est bien en défiant leur ordre qu'il est venu la voir. Et puis franchement ce n'est plus un enfant pour leur obéir. C'est une adulte, un homme et il a bien le droit de faire ce qu'il veut de sa vie, non ? Le temps ou les parents choisissent le vie de leurs enfants devrait être révolu. Et tant pis si ça ne leurs plait pas, quoi qu'il en soit Maxence McAlister ne se laissera pas faire et diriger. A plusieurs reprises il avait essayé de parler à Marie mais sans réussite, elle continuait de le fuir. C'était la faute de ses parents, c'était sûr. Il ignorait ce qu'ils avaient put dire ou faire mais c'était certainement pas très jolie.

Si la jeune femme ne voulait pas lui parler alors il devait la forcer à l'écouter. C'est pour ça qu'il s'était introduit chez elle comme un voleur. Par la suite, si elle voulait appeler la police pour le dénoncer il s'en fichait du moment qu'elle commence par écouter ce qui a à dire. Quand elle rentra, il s'expliqua rapidement, il s'excusa d'être entré chez elle comme ça, comme un vulgaire voleur mais qu'il devait le faire pour lui parler. Tout ce qu'il voulait c'est qu'entre eux ce ne soit pas finit, qu'ils continuent de se voir malgré ce que les puissant McAlister on put dire ou faire contre elle. Vivre sans elle...non il ne pourrait pas, c'était impossible, plutôt se laisser dépérir tout de suite. Là, il était si proche d'elle, la regardant dans les yeux pensant réussir à la faire craquer, pensant qu'elle l'écouterait lui et non pas ses idiots de parents qu'il commençait sérieusement à haïr.

La réponse de la jeune femme fut dur à attendre, est-ce qu'elle mesurait ces paroles ? Se rendait t'elle compte que c'était totalement absurde ? Le jeune homme commençait à en vouloir à la terre entière, il avait envie de tout casser et d'hurler. De qu'elle droit s'imagine t'elle gâcher sa vie ? Ce n'est pas à elle de décider avec qui il doit se marier. Elle n'a pas le droit d'écouter les parents de Max et de penser que se sera mieux qu'il soit avec une femme de son rend social, une femme pleine aux As qui ne sera avec lui que pour l'argent et la renommé de sa famille. Et imaginer qu'elle n'était pas digne de lui...oh bon sang ça le mettait hors de lui. C'était dur mais il contenait sa colère, sa mâchoire serrée et crispée.

-C'est absurde ! déclara t'il en reculant d'un pas et en la quittant du regard. Est-ce que tu te rends compte de ce que tu viens de dire ? demanda t'il le plus calmement possible mais on pouvait sentir la colère arriver derrière. Tu n'as pas le droit de faire comme eux ! Pas toi, Marie ! Pas toi ! Comment est-ce que tu peux dire que je vais gâcher ma vie avec toi, comment tu pourrais le savoir ? Tu est devenue voyante ou un truc du genre ? Il lui tourna le dos et commença à tourner un peu en rond c'était le seul moyen de ne pas s'énerver ou du moins de ralentir toute la colère qu'il pouvait ressentir contre ses parents en ce moment. J'ai pas envie de me marier avec une autre que toi. Tu veux vraiment me voir au bras de la femme qu'ils ont choisit pour moi ? Me voir malheureux car je l'aimerai pas et que je ne l'ai pas choisis ? Il souffla et frappa le mur assez fort pour ressentir la douleur mais pas assez pour l'abimer ou faire trembler le mur. Te laisse pas influencer par ce qu'ils ont put te dire. Moi je me fiche pas mal que tu ne sois qu'une fleuriste ou que tu sois d'un rang social plus bas que le mien. Qu'est-ce que j'en ai à faire ? La seule et unique chose qui compte pour moi c'est l'amour que j'ai pour toi. Je sais pas combien de fois je vais devoir le répéter, mais je t'aime, je t'aime comme un fou et personne changera ça. Si je dois être renié de ma famille pour ça alors qu'il en soit ainsi. Je préfère être pauvre et heureux plutôt que riche et malheureux. De nouveau, il s'approcha d'elle et posa une main de chaque coté du visage de la jeune femme. Regarde moi dans les yeux et dit moi que tu ne m'aimes pas...si tu y arrives alors je te laisserai tranquille...