Comme une impression de déjà vue [PV Jack ♥]

Putain j'en avais marre de New York, tellement j'en avais marre j'avais décidé de venir vivre ici à seabrook, enfaite j'ai surtout fuis New York, j'avais des parents lourdingue et franchement trop chiants! Richouille, pleine aux as mais ça m'intéressais pas alors j'ai fugué et j'ai fais la rencontre d'un homme qui m'a rendu... accroc à lui! Mais le problème c'est qu'il connaissait mes parents... j'ai pris j'ai fuis... encore, je ne sais faire que ça. Fuir encore et toujours.

Cela faisait à peine quelques jours que j'étais là et j'avais trouvé un vieille endroit moisi pour dormir, un truc assez miteux, et je devais me nourir, je me lavais dans un lac c'est pour vous dire. Alors j'allais en ville aujourd'hui et entra dans une boutique, puis vie de magnifique fruits, j'attendais que le vendeur ne m evoient pas et pris une magnifique pomme rouge c'est à ce même moment que l'homme m'attrape la poignet, je lançais alors mon genoux dans le ventre et chopa la pomme et me mise à courir dans les rues afin d'essayer de le semer...

Je passais ma vie à faire ça, fuir, voler et courir, puis une fois que j'avais de quoi me nourir un tout petit peux je retournais dans le vieille appartement miteux, humide, sans eaux et electricité qui me servait à m'abbriter...

➺ crédit fantaisiie

Seabrook était mon nouveau pied à Terre, un endroit de plus pour faire fructifier mon empire. Même si la vie ne m'avais pas fait de cadeau, je ne compte non plus en faire a autrui. Après tout la seule femme que j'avais aimé m'avait quitté du jour au lendemain sans aucune excuse plausible. Elle avait su bouleverser mon coeur malgré sa condition de voleuse... Elle m'avait plut. Et pourtant elle est partie, comme tout ce que je convoite avec mes sentiments d'ailleurs... Une de plus après tout. J'en avait fait une habitude mais... Elle jamais je ne l'oublierais.

Aujourd'hui était un jour comme un autre, et comme certaines journées, j'arpentais les rues désaffectés à sa recherche, car même si elle m'avait quittée, elle m'obsédait, je devais la retrouver. Je sais qu'en 1948, les moyens de trouver une personne ne sont pas faciles, mais elle je la trouverais moi même. Je me balladais dans une rue avec des commerces et regardais autour de moi, les mains dans les poches de mon costume, un flingue sous ma veste, à l'affut d'un indice qui me permettrait de la retrouver elle... Mais rien. Jusqu'à cet instant.

Je vit une femme courir en pleine rue, comme si elle avait volé quelque chose, voler quoi ? Une pomme. Rouge. Et je la reconnaissait aux traits fins de son visage, ses beaux cheveux noirs, et la douceur de ses yeux. Ma princesse. Ma Ariel. Elle se dirigeait vers moi à vive allure semblant vouloir s'enfuir et comme la première fois, j'allais l'aider. Je me réfugiait dans un lieu désinfecté sur son trajet, l'attrapais au vol lorsqu'elle me passait devant, mettais ma main sur ses lèvres si douces pour taire son cri, puis la plaquais contre le mur, mon corps contre le sien, lui murmurant au creux de l'oreille tendrement...

- Chut ! Il pourrait nous repérer.

➺ crédit fantaisiie